On parle de nous « Les alternatives écolos à l’exploitation intensive de la forêt » dans REPORTERRE
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  • Photo du rédacteurTiphanie

On parle de nous « Les alternatives écolos à l’exploitation intensive de la forêt » dans REPORTERRE

Dernière mise à jour : 4 janv.

Les 23 et 24 septembre derniers, a eu lieu le festival des Scieurs et de la Forêt. À cette occasion, Enzo DUBESSET, journaliste indépendant, a publié un article intitulé « Les alternatives écologiques à l'exploitation intensive de la forêt » dans le journal Reporterre !


Équipés de bottes et de cirés, des curieux s’aventurent sur le « chemin du bois » pour une balade  didactique. Ils sont accueilis par Anthony Cheval, au Festival des scieurs et de la forêt, qui s’est tenu fin septembre à Tursac, dans le  Périgord noir. L’objectif : trouver l’interstice entre productivisme à outrance et mise sous cloche de la forêt.

Lors de ce festival, vous pouviez rencontrer Anthony Cheval, le coordinateur du projet, ainsi que Frantz Veillé, technicien forestier. À travers son article, Enzo a su décrire les problématiques que nos équipes rencontrent sur le terrain : comment prendre soin d'une forêt sans tomber dans les deux extrêmes que sont les coupes rases massives et la systématisation du « Je ne touche à rien » ? Quel modèle proposer pour contrer l'industrialisation de la forêt ? Quelle vision pour notre future gestion forestière ?


Nous vous invitons à lire l’intégralité de l’article : https://bit.ly/3rWn6hY


Contrairement à l’exploitation industrielle où sont marqués en premier les arbres à abattre, le travail du sylviculteur consiste ici à identifier en priorité les arbres à sauvegarder
« Une méthode pour une futaie  irrégulière comme celle-ci, ça va être la coupe jardinatoire, explique le sylviculteur Frantz Veillé,  pancartes schématiques en main. On va venir prélever l’équivalent de 15 à 20 % de la parcelle tout en maintenant un parapluie forestier sur les champignons, les sols, les zones humides, tout ce qui fait la biodiversité de la forêt. »

Pour en savoir plus sur notre projet en France ou sur nos autres projets à l’international ?



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